Savons-nous réellement ce dont nous avons besoin pour nourrir nos vies de tout ce qui nous permet de nous épanouir ? Peut-être respirer à plein poumons et nous relier à ce qui nous entoure.
Nous posons-nous régulièrement la question de ce qui nous ferait du bien dans une situation qui nous déséquilibre? Peut-être tout simplement poser les deux pieds sur terre.
Sommes-nous à l’écoute de notre petite voix intérieure, qui nous alerte quand quelque chose ne tourne pas rond, ou à l’inverse, quand quelque chose tourne en rond ? Et dans ces cas-là, désirons-nous réellement trouver une issue ?
« Les besoins s’écoutent par le ventre, les idées par la tête » . Les besoins issus de la tête ne sortent que de notre mémoire, de notre passé et des règles que nous avons intégrés. Les besoins issus du ventre sortent de nos tripes, de notre enfance et sont donc beaucoup moins filtrés. Toutefois, ils demandent parfois d’être mis en forme, car ils sont bruts. Bruts, sans être brutaux. Mais c’est cette puissance animale qui peut faire peur et qui peut donner envie de se réfugier dans sa tête, pour les mettre un peu plus à distance.
C’est alors le corps qui peut servir de messager. Et par la douleur, essayer de faire remonter un besoin, que l’on a parfois trop étouffé. Alors, laissons nos ventres gargouiller et apprenons à les écouter.
Et vous, écoutez-vous votre ventre ?
Moi j’écoute trop souvent mon bas ventre qui est en lien directe avec mon esprit au point que je me demande si ce n’est pas là que ce situe mon esprit.
Car une fois le bas ventre satisfait, l’esprit va mieux.
Mais c’est vrai qu’il est très utile pour identifier mes besoins.
Après ce qui fait peur à l’esprit c’est d’y répondre.
La faute à l’éducation?
La morale ?
La société ?